Ressources éducatives en ligne en kinésithérapie / physiothérapie
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Autres dénominations : Test de compression foraminale, Shoulder Press Test, Jackson Compression Test
Le patient est assis. Le thérapeute se tient derrière lui, et amène la tête du patient en inclinaison cervicale du côté douloureux. Il applique ensuite à l'aide de ses mains une force de compression axiale dirigée vers le bas en regard du sommet du crâne.
Sur le banc des accusés du SFP, on retrouve souvent quelques habitués : La faiblesse du quadriceps, un angle Q trop prononcé, le surpoids... Mais qu'en est-il vraiment ?
De nombreuses études on évalué les liens entre le port de talons et la présence de divers troubles musculosquelettiques.
Les liens entre dyskinésies scapulaires et douleurs d’épaule sont peu clairs, mais la littérature semble admettre un certain intérêt à corriger ces déséquilibres musculaires.
Le patient est assis, le thérapeute se place de côté. Il place une main sur le front du patient, et place la pulpe du pouce (ou une prise pouce-index) de son autre main en regard du processus épineux de C2. Le patient amène sa tête en légère flexion. Il exerce une force de translation postérieure via le front du patient, ainsi qu'une translation antérieure en regard de C2. Le thérapeute apprécie l'amplitude du mouvement ressenti ainsi que la présence d'un éventuel "crépitement".
Le test est considéré comme positif si :
Les lésions focales du cartilage peuvent être traitées chirurgicalement via des auto ou allo greffes ostéochondrales, des micro-fractures par arthroscopie ou encore via des injections de chondrocytes.
Le patient est assis ou en décubitus dorsal. Le thérapeute amène le membre supérieur à tester en rotation latérale, extension et abduction d'épaule, coude tendu.
Le patient est assis ou debout. Le thérapeute effectue des percussions en regard des processus épineux de chaque vertèbre, à l’aide d’un marteau réflexe, de ses 2ème et 3ème doigts, ou encore à l’aide de son poing (en interposant son autre main).
Le test est considéré comme étant en faveur d’une fracture vertébrale si :
Ce test pourra également être positif en cas d’atteinte ligamentaire. En cas de radiculopathie, le test de percussion peut déclencher des douleurs irradiantes.
Autres dénominations : Test de la cigogne, Test de Rucklauf, Standing Hip and Knee flexion test
Le patient est debout. Le thérapeute place un pouce sous l'épine iliaque postéro-supérieure (EIPS) du côté testé, et son autre pouce en regard du processus épineux de S2. Il est demandé au patient de lever le membre inférieur testé au delà de 90° de flexion de hanche, genou fléchi. Le thérapeute observe le mouvement de rotation postérieure de l'iliaque via l'abaissement de son pouce.
Ce test est répété au côté controlatéral.
Vieillissement de la population, société sédentarisée... d'ici 2040, on estime que 25% de la population adulte aux US souffrira d'arthrose (sous entendu symptomatique). La littérature scientifique sur le sujet ne manque pas, et pourtant il semble persister un fossé entre elle et les moyens réellement mis en œuvre sur le terrain.
Leech nous propose une revue narrative pour faire le point sur les éléments clé à mettre en œuvre selon les recommandations existantes.
En bref :
